Cléopatra Zarifopoulou : elle mène la danse…
Cléopatra, diplômée de notre école, s’adonne à la danse depuis l’âge de quatre ans. Il ne s’agit donc pas d’un simple passe-temps mais d’une vie entière. En achevant ses études à la Faculté de sciences de l’éducation physique et des sports de l’Université d’Athènes, il allait de soi qu’elle n’abandonnerait pas la danse.
Ainsi, elle obtint des diplômes en danse classique (de la Royal Academy of Dance-RAD) et un diplôme d’enseignement professionnel mais aussi des diplômes en danses d’Amérique latine (de l’association internationale des enseignants de la danse - International Dance Teachers’ Association-IDTA) puis elle entama sa carrière professionnelle.
Aujourd’hui, elle enseigne l’éducation physique à l’École des officiers de la Police hellénique. Elle enseigne également la musicocinétique, la psychocinétique et l’éducation au rythme, entraîneuse en Gymnastique pour tous (gymnastique aux agrès, gymnastique rythmique et acrobatique). Elle enseigne également la danse et élabore des programmes de danse et de gymnastique pour le festival de Gymnastique pour tous des associations sportives Athlokinissi Agias Paraskevis et Megas Alexandros de Galatsi. Elle a également enseigné les danses d’Amérique latine dans diverses écoles de danse.
Elle achève ses études de maîtrise en choisissant comme sujet de mémoire : « Caractéristiques psychologiques et troubles de l’alimentation : le rôle de l’autocompassion »
Elle a participé au 18ème Congrès de Recherche en Psychologie de la Société hellénique de Psychologie (ELPSE) :
Le congrès a eu lieu en octobre 2022, à Athènes, à l’Université Panteio des Sciences sociales et politiques. Le thème principal en était « Rien d’humain ne m’est étranger ». La présentation de son travail qui fait partie de son mémoire, est intitulé « Troubles de l’alimentation, image du corps et autocompassion chez des danseuses de danses d’Amérique latine »
(Livre des résumés, p. 78-79, à consulter via le lien : https://www.elpse2022.gr/proceedings).
Merci à Manolis Alisavakis pour cet article paru dans « Ta nea tou lfh »